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Essai sur le goût - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

L’Essai sur le goût dans les choses de la nature et de l’art de Montesquieu forme une partie de l’article « Goût », paru dans le tome VII de l’Encyclopédie en 1757 de façon posthume et à l’état inachevé. Cet article est lui-même composé d’un article dû à Voltaire, puis du « fragment sur le goût » de Montesquieu, comme l’appellent Diderot et d’Alembert. Il est réédité en 1783, dans une version un peu différente fournie par Jean-Baptiste de Secondat.

Lettres familières - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Dans un voyage que je fis il y a quelques années en Italie, je me liai avec des personnes qui avaient eu une correspondance réglée avec l'illustre M. de Montesquieu, et on me fit voir quelques-unes de ces lettres. Cela me fit naitre l'idée d'en faire un recueil.

Lysimaque - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Lysimaque parut dans le Mercure de France, au mois de décembre 1754. Il fut d'abord imprimé dans l'Histoire de la Société des sciences et belles-lettres de Nancy, publiée par M. de Solignac.. En tête de l'article, les éditeurs du journal mirent la note suivante : L'auteur de l'Esprit des lois nous a permis d'imprimer le morceau suivant qu'il a fait pour l'académie de Nancy ; cette fiction est si intéressante et si noble qu'il n'est pas possible de la lire sans aimer et sans admirer le grand prince qui en est l'objet.

Notes sur l’Angleterre - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Ces notes ont paru, pour la première fois, dans l'édition des OEuvres complètes, donnée par Lefèvre, en 1818. Il n'y a rien de si affreux que les rues de Londres ; elles sont très-malpropres ; le pavé y est si mal entretenu qu'il est presque impossible d'y aller en carrosse, et qu'il faut faire son testament lorsqu'on va en fiacre, qui sont des voitures hautes comme un théâtre, où le cocher est plus haut encore, son siége étant de niveau à l'impériale. Ces fiacres s'enfoncent dans des trous, et il se fait un cahotement qui fait perdre la tête.

Pensées diverses - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Le grand homme écrivait le soir ses observations de tous les jours ; ces pensées solitaires étaient le premier jet de l'esprit ; elles ont la sève de l'originalité. Plusieurs étaient connues ; d'autres nous ont été transmises par des mains fidèles. Ces anneaux préparés pour une grande chaine, quoique détaches, sont des anneaux d'or. On ne peut lire sans attendrissement ces entretiens muets avec son fils ; ces pensées étaient une espèce de legs paternel ; il a son prix aux yeux des hommes sensibles et éclairés.

Poésies - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Prétendre que Montesquieu fut poète tiendrait de la plus parfaite gageure. Non seulement on ne pourrait présenter pour preuve qu’un recueil bien mince de ses œuvres en vers, mais on sait aussi qu’il tenait en piètre estime les poètes eux-mêmes. Il s’est cependant exercé à la versification comme tout jeune homme au collège. Faut-il croire Voltaire lorsqu’il écrit dans une lettre à Saurin de 1768 : « Montesquieu, dans ses Lettres persanes, se tue à rabaisser les poètes. Il voulait renverser un trône où il sentait qu’il ne pouvait pas s’asseoir » ?

Préface aux œuvres diverses - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Ce volume contient les Œuvres diverses de Montesquieu ; on y trouvera un certain nombre de pièces inédites ou peu connues. Ce volume, composé de pièces diverses, achève la publication des *Œuvres complètes de Montesquieu.*Ce n’est pas sans regret que je vois finir un travail qui m’a occupé six années. Durant tout ce temps, il me semble que j’ai vécu dans la familiarité du président, dans l’intimité de ce grand esprit. Il m’a fait souvent oublier les petitesses de l’heure présente, en m’attachant par la largeur de ses vues, par la sérénité de ses idées.

Tibère et Louis XI - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Tibère et Louis XI s'exilèrent de leur pays avant de parvenir à la suprême puissance. Ils furent tous deux braves dans les combats et timides dans la vie privée. Ils mirent leur gloire dans l'art de dissimuler. Ils établirent une puissance arbitraire. Ils passèrent leur vie dans le trouble et dans les remords, et la finirent dans le secret, le silence et la haine publique. Mais si l’on examine bien ces deux princes, on sentira d’abord combien l’un était supérieur à l’autre. Tibère cherchait à gouverner les hommes, Louis ne songeait qu’à les tromper.

Voyage à Paphos - Montesquieu, Charles-Louis de Secondat - Bibebook cover

Le Voyage à Paphos a toujours été attribué à Montesquieu. Cependant on ne l'a jamais publié dans les œuvres complètes de l'auteur. Il est vrai que cette petite pièce offre peu d'intérêt. On n'y trouve point, comme dans le Temple de Gnide, certaines réflexions, certaines phrases où l'on reconnaît, parmi bien des fadeurs, la marque du maître. Le Voyage à Paphos a été peut-être improvisé pour amuser l'oisiveté d'une grande dame, mais ni l'invention ni l'exécution n'ont dû causer grand'peine au poëte ; tout y est pâle et sans relief.

Jean des Brebis ou Le livre de la misère - Moselly, Émile - Bibebook cover

Jean des Brebis ou le livre de la misère est un roman d'Émile Moselly publié en 1904. Ce livre, avec Terres lorraines du même auteur, fut récompensé en 1907 par le Prix Goncourt. Recueil de six nouvelles d'inspiration régionaliste se déroulant en Lorraine, le livre met en scène la vie des plus humbles et des miséreux dans un cadre lorrain, rural et champêtre. Les titres de ces nouvelles sont : Jean des Brebis, À la belle étoile, Le Revenant, La Mort du bouif, Le Trompion et Cri-Cri.

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