Suite de Marcof-le-Malouin. Extrait : Keinec entra. Une petite table en bois blanc, et quelques matelas entassés dans un coin, formaient tout l’ameublement de la cabane. Une petite lampe éclairait ce modeste réduit. Jahoua était étendu sur le lit. Sa figure, pâle et amaigrie, décelait la souffrance. Un linge ensanglanté lui entourait la tête et cachait une partie de son front. Un autre lui bandait le bras droit. En voyant entrer Keinec, sa figure exprima un profond sentiment de joie, et, se soulevant avec peine, il lui tendit les deux bras. – Comment vas-tu ?