Déjà forcé par les circonstances, j'avais depuis quelque temps abandonné ma chambre et transporté mes pénates ailleurs. Le malheur n'est pas grand, dira-t-on. Mais comment remplacer Joannetti et Rosine ? Ah ! cela n'est pas possible. Joannetti m'était devenu si nécessaire que sa perte ne sera jamais réparée pour moi. Qui peut, au reste, se flatter de vivre toujours avec les personnes qu'il chérit ?