La «Préface», oeuvre à part entière, fait date dans l'histoire littéraire. Sur un ton enlevé, perfide et caustique, l'auteur attaque les bien-pensants, représentants de la tartufferie et de la censure, et ceux qui voudraient voir un côté «utile» dans une oeuvre littéraire, alors que l'art, par définition non assujetti à la morale ou à l'utilité, échappe à la notion de progrès pour ne s'allier qu'à celle du plaisir.