Avec ses Contes du voyageur, Irving nous convie autant au voyage et à l'exotisme, qu'aux vagabondages de l'imagination, humaine et littéraire, dans toute sa splendeur. Ajoutez à ces récits la traduction française bancale et délicieusement vieillotte de 1825. Extrait : « Cousin, s'écria-t-il, que le diable m'emporte, je suis fâché de ce que j'ai dit : tu m'as traité comme je le méritais en m'étrillant, et je ne t'en aime que mieux.