éfélé

Le Cabinet des Antiques - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études de moeurs. Deuxième livre, Scènes de la vie de province - Tome III. Septième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : Chesnel fut au désespoir de s’être laissé séduire par le sieur du Croisier. Depuis ce jour, il ne retrouva plus dans les manières ni dans les paroles du marquis d’Esgrignon cette caressante bienveillance qui pouvait passer pour de l’amitié. Désormais, le marquis eut pour lui de la reconnaissance. Cette reconnaissance noble et vraie causait de perpétuelles douleurs au notaire.

Le chef-d’œuvre inconnu - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études philosophiques - Tome I. Quatorzième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : ― Montrer mon œuvre, s’écria le vieillard tout ému. Non, non, je dois la perfectionner encore. Hier, vers le soir, dit-il, j’ai cru avoir fini. Ses yeux me semblaient humides, sa chair était agitée. Les tresses de ses cheveux remuaient. Elle respirait ! Quoique j’aie trouvé le moyen de réaliser sur une toile plate le relief et la rondeur de la nature, ce matin, au jour, j’ai reconnu mon erreur. Ah !

Le colonel Chabert - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études de moeurs. Troisième livre, Scènes de la vie parisienne - Tome II. Dixième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : ...le vieillard resta silencieux, et sa bizarre figure prit une expression si dépourvue d’intelligence, que le clerc, après l’avoir regardé, ne s’occupa plus de lui. Quelques instants après, Derville rentra, mis en costume de bal ; son Maître clerc lui ouvrit la porte, et se remit à achever le classement des dossiers. Le jeune avoué demeura pendant un moment stupéfait en entrevoyant dans le clair-obscur le singulier client qui l’attendait.

Le contrat de mariage - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

1835. La Comédie humaine - Études de moeurs. Premier livre, Scènes de la vie privée - Tome III. Troisième volume de l'édition Furne 1842 . Après avoir mené une intense vie mondaine à Paris et à travers l'Europe, le jeune comte Paul de Manerville décide de se retirer dans sa région natale pour se marier. C'est à Bordeaux qu'il fait la connaissance de Natalie Evangelista, dont le père était très fortuné. Paul la demande en mariage, mais lors de la préparation du contrat de mariage, le notaire de Paul découvre que la fortune de Natalie a été dilapidée par sa mère.

Le cousin Pons - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie Humaine Etudes de moeurs. Scènes de la vie parisienne. Tome XVII - Houssiaux, 1848. Extrait : Cette hyène était d’autant plus furieuse contre ce chérubin, fils de la belle madame Brunner, que, malgré des efforts dignes d’une locomotive, elle ne pouvait pas avoir d’enfant. Mue par une pensée diabolique, cette criminelle Allemande lança le jeune Fritz, à l’âge de vingt et un ans, dans des dissipations anti-germaniques.

Le curé de Tours - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études de moeurs. Deuxième livre, Scènes de la vie de province - Tome II. Sixième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : L’abbé Chapeloud, égoïste aimable et indulgent, devina la passion de son ami, ce qui n’était pas difficile, et la lui pardonna, ce qui peut sembler moins facile chez un prêtre. Mais aussi le vicaire, dont l’amitié resta toujours la même, ne cessa-t-il pas de se promener avec son ami tous les jours dans la même allée du mail de Tours, sans lui faire tort un seul moment du temps consacré depuis vingt années à cette promenade.

Le curé de village - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études de moeurs. Cinquième livre, Scènes de la vie de campagne. Treizième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : Jérôme-Baptiste Sauviat, en homme aux yeux de qui la fortune semblait constituer tout le bonheur, qui n’avait jamais vu que le besoin dans l’amour, et dans le mariage qu’un mode de transmettre ses biens à un autre soi-même, s’était juré de marier Véronique à un riche bourgeois. Depuis longtemps, cette idée avait pris dans sa cervelle la forme d’un préjugé.

Le lys dans la vallée - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études de moeurs. Deuxième livre, Scènes de la vie de province - Tome III. Septième volume de l'édition Furne 1842. Extrait : A mon arrivée, mes deux sœurs, qui ne me connaissaient point, marquèrent plus d’étonnement que de tendresse ; cependant plus tard, par comparaison, elles me parurent pleines d’amitié pour moi. Je fus logé dans une chambre, au troisième étage.

L’affaire Blaireau - Allais, Alphonse - Bibebook cover

Comment une erreur judiciare va chambouler les vies bien réglées d'une petite ville de province. Extrait : C'est toute une histoire, monsieur le baron, et que je puis vous conter maintenant sans indiscrétion. Catherine d’Arpajon avait fait connaissance, aux courses d’Auteuil, d’un riche planteur fort généreux, mais qui ne savait pas un mot de français. En quittant Paris, cet étranger, grâce à son interprète, dit à Catherine : « Ma chère enfant, quand vous saurez la langue de mon pays, venez-y (dans le pays), vous serez reçue comme une reine. » Et il lui laissa son adresse.

A combien l’amour revient aux vieillards - Balzac, Honoré de - Bibebook cover

La Comédie humaine - Études de moeurs. Troisième livre, Scènes de la vie parisienne - Tome XI (sic, erreur pour le tome III). Onzième volume de l'édition Furne 1842. Splendeurs et misères des courtisanes est un roman d’Honoré de Balzac publié entre 1838 et 18471 qui fait suite aux Illusions perdues. Une partie de l’ouvrage, la Dernière Incarnation de Vautrin, paraît dans la Presse, en avril-mai 1847. Extrait : Eh ! grosse bête, c’est ton affaire de te faire aimer par elle, et tu as bien assez de moyens pour acheter un semblant d’amour qui vaille le vrai.

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