Vous qui la connaissez dans ses embrassements - Et dans sa turpitude et dans ses pénitences, - Et dans sa rectitude et dans ses inconstances, - Et dans le feu sacré de ses embrasements, - Vous qui la connaissez dans ses débordements, - Et dans le maigre jeu de ses incompétences, - Et dans le battement de ses intermittences, - Et dans l’anxiété de ses longs meuglements, - Vous seule vous savez comme elle est peu rebelle, - La ville indépendante et pourtant tributaire.