Stendhal

La chartreuse de Parme - Stendhal - Bibebook cover

Cette œuvre majeure, qui lui valut la célébrité, fut publiée en deux volumes en mars 1839, puis refondue en 1841, soit peu avant la mort de Stendhal, suite à un article fameux de Balzac. L’œuvre sera, jusqu’au début du XXe siècle, relativement inconnue en dehors de quelques cercles d’esthètes, de critiques littéraires, ce que Stendhal semblait appeler de ses vœux, dédicaçant son roman To the Happy Few.

Féder - Stendhal - Bibebook cover

Dans Feder, nouvelle intitulée lors de sa publication en 1855, Feder ou Le mariage d'argent, le problème de la réussite à Paris se présente sous la forme d'une alternative. Est-il préférable, pour l'ambitieux, d'avoir des livres, et de les avoir lus éventuellement, ou de servir aux invités des petits pois dans la première primeur ?

L'abbesse de Castro - Stendhal - Bibebook cover

Après avoir écrit tant d’histoires tragiques, dit l’auteur du manuscrit florentin, je finirai par celle de toutes qui me fait le plus de peine à raconter. Je vais parler de cette fameuse abbesse du couvent de la Visitation à Castro, Hélène de Campireali, dont le procès et la mort donnèrent tant à parler à la haute société de Rome et de l’Italie. Déjà, vers 1555, les brigands régnaient dans les environs de Rome, les magistrats étaient vendus aux familles puissantes. En l’année 1572, qui fut celle du procès, Grégoire XIII, Buoncompagni, monta sur le trône de saint Pierre.

Suora scolastica - Stendhal - Bibebook cover

Cette reine, Elisabeth Farnèse, passa quinze ans de sa vie sans perdre de vue plus de dix minutes par jour son fou de mari. Cette cour, si misérable au milieu de ses fausses grandeurs, a trouvé un peintre homme de génie, digne de toutes les profondeurs de ses critiques et porté par le génie sombre du caractère espagnol, le duc de Saint-Simon, le seul historien qu'ait produit jusqu'ici le génie français.

Armance - Stendhal - Bibebook cover

Octave de Malivert sort de Polytechnique. Il est jeune, brillant, élégant mais son caractère étrange inquiète sa mère. Celle-ci l'invite à fréquenter le salon de mandame de Malivert pour le sortir de son isolement. Il y retrouve sa cousine, Armance de Zohiloff. Mais si la «loi d'indemnité» qui vient d'être votée pour indemniser les nobles s'estimant spoliés par la révolution fait d'Octave un parti intéressant, Armance semble rester insensible aux attraits du jeune homme.

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